Votre personnage.

Ishizu Ishtar Yu-Gi-Oh !

─ Nom : Argal ─ Prénom : Anissa ─ Age : 16 ans

─ Description physique :

"Mais qu'est-ce ? Quelle est cette hérésie ? D'où sort cette personne à la peau si sale qu'elle ne peut être nettoyée pour redevenir blanche ? Et ces yeux noirs ? Je n'en ai jamais vus de tels... Ouh, qu'elle est laide, bizarre, anormale ! Est-ce réellement un être humain ?"

C'est généralement ainsi que la demoiselle entend parler d'elle, heureusement qu'elle ne comprend pas tous les termes, elle risquerait d'en être atterrée. Car en effet, il n'est pas commun, à l'époque, de voir dans les rues de Londres une telle jeune femme.

Premièrement, elle possède une beau brune, bien bronzée et dorée, naturellement. Cela contraste fortement avec la peau blanche du commun des mortels de la ville, ainsi elle ne passe pas inaperçue, peu importe l'endroit où elle se trouve. Souvent, les gens la regardent avec un certain dégoût, la pensant comme une personne sale. Ensuite viennent ses yeux, deux yeux noirs où il est impossible de distinguer la pupille du reste, même sous le plus brillant des soleils. Son regard fait peur car il est impossible de lire à l'intérieur, savoir exactement où elle est en train de regarder. Pourtant c'est le même que celui de n'importe qui, un regard humain.

Anissa est grande pour son âge et l'époque, très grande pour une femme. En effet, sa taille approche du mètre soixante-dix, ce qui la fait paraître bien élancée et plus âgée qu'elle ne l'est réellement. On peut aussi penser que ses deux grossesses et sa troisième en cours y sont pour quelque chose, ils jouent dans cet aspect "femme mure" qui ressort de sa personne à chacun de ses mouvements. Car elle possède une démarche gracieuse, comme on le lui a apprit depuis qu'elle est toute petite pour convenir à son époux.

Si l'on va chercher plus loin, elle n'a rien d'une "belle" femme. Sans parler des canons de beauté de l'époque, ni de ceux d'aujourd'hui. Elle n'est ni fine, ni enveloppée, normale. Avec quelques petites rondeurs, sa graisse que possède tout un chacun. Son visage est agréable, mais sans plus. Il n'a rien de fascinant. Si à première vue ses mains paraissent douces, en s'approchant on peut y voir de la corne à force de les faire travailler en diverses domaines. Voilà, c'est une femme "normale", si l'on oublie ses couleurs.

Enfin, vous serez peut-être et certainement plus soucieux de détailler ses cheveux avant de vous attaquer à ces aspects de sa personne. Vraiment longs, mais rarement visibles, ils lui arrivent en dessous de la fesse. Aussi noirs que ses yeux, aux reflets changeant selon la lumière du moment. Ils ondulent finement le long de son dos, seraient une horreur à coiffer pour le commun des mortels, mais, ayant l'habitude comme toutes les femmes de son clan de les porter si longs, ses doigts ont acquis une grande dextérité dans l'art de la coiffure et du brossage, ainsi elle n'a pas de problème lorsque tous les matins où elle ne s'est point fait de tresse, elle doit les démêler. Cela prend du temps, mais c'est quelque chose de normal et nécessaire pour elle.

Oui, il a été dit que ses cheveux n'étaient pas souvent visibles. Ceci car l'origine et l'époque ne lui permettent pas de se montrer. Surtout sous le regard des gens de l'endroit où elle vit désormais. La décence veut qu'elle ne montre ni ses jambes, ni ses bras, ni la totalité de son visage. Une sorte de chapeau, ou de voile masque continuellement son front, le tout soutenu par un diadème décoré. Son cou sera toujours recouvert d'une écharpe plus ou moins épaisse, couvrant ou non le menton. Pour le reste des vêtements, ils restent aussi ornementés et colorés que la couronne soutenant son couvre-chef. On pourrait penser qu'elle ferait des efforts pour s'habiller "comme tout le monde", mais les regards n'en seraient que pire. En effet, cette personne étant "différente" d'eux, elle n'a pas à se mêler à la population car elle est faite pour être dévisagée, scrutée, voir méprisée pour sa simple apparence.

─ Description morale :

Premièrement, Anissa est quelqu'un de très responsable. Après tout elle n'a peut-être que seize ans, mais possède déjà trois enfants et bientôt un quatrième. Elle s'en occupe sérieusement, veut absolument se charger de leur éducation elle-même. Jamais elle ne supportera qu'une nourrice face le travail à sa place. Elle est d'ailleurs un peu mère poule. Respectée par les autres mères qui pensent qu'elle fait un travail excellent avec sa progéniture, elle n'est pourtant jamais vraiment satisfaite.

D'ailleurs, c'est un autre point important de sa personnalité. Elle n'est jamais satisfaite de rien qui vient d'elle-même. Elle est consciente de ses lacunes dans chaque domaines et fait donc toujours de son mieux pour atteindre un niveau supérieur, toujours progresser, ne jamais se contenter du minimum. Ainsi elle est sûre de faire du bon travail, ce qui est nécessaire pour le bien-être de la communauté d'où elle vient. Ce trait de caractère bien trop prononcé depuis toujours ne risque pas de s'estomper, même au sein des rues de Londres où il n'y a pas besoin de parcourir chaque jours plusieurs kilomètres pour se procurer un seau d'eau. Les seules choses dont elle soit pleinement satisfaite son en fait son mari et ses enfants. Ils sont ses trésors et, bien qu'il s'agisse d'un mariage forcé, elle s'est réellement éprise de l'homme et l'aime désormais de tout son cœur.

Ceci l'amène à avoir certaines pensées un peu déplacées. En effet, parfois elle se trouve être presque soulagée de la mort de sa sœur car, sans elle, elle n'aurait jamais pu être heureuse avec son époux. Lorsqu'elle se surprend avec ces idées abominables elle a envie de se mettre des coups de poings, alors elle coud. Elle coud sur le tissus l'illustration de son esprit pour ensuite soit les conserver et se rappeler, soit les bruler automatiquement.

Par conséquent c'est une femme très jalouse qui, même si elle a vécu en communauté, a du mal à voir son homme approché par d'autres jeunettes susceptibles de lui taper dans l'oeil. Le fait est que cela n'est pas vraiment possible puisque lui aussi adore sa femme, mais elle n'est pas sensé le savoir. Se ne sont pas des choses qui se disent, généralement. A la base, cela reste un mariage forcé, par tradition.

Notons aussi qu'elle reste travailleuse et se donnera à fond dans son métier de domestique. Elle est bien consciente que, de toute façon, elle ne sera jamais acceptée autrement qu'en "chose" par les européens, alors autant ne pas faire de boulette. Elle évitera ainsi quelques coups de bâtons. Malgré le regard que les gens lancent régulièrement sur elle, elle apprécie de se promener dans les rues ou ailleurs, laisser ses pieds vagabonder au hasard et, au final, constater qu'elle est complètement perdue ou dans un endroit où elle n'a pas sa place... Si tant est qu'elle possède sa place quelque part dans Londres.

Bref, Anissa n'a aucun sens de l'orientation dans une grande ville. Tous ces bâtiments qui l'empêchent de voir où elle va l'agacent, elle déteste ce paysage. Au moins, chez elle, ils vivaient dans des plaines et on voyait loin avant de trouver un obstacle à la vue. Ici, tout est bloqué. Malgré ce manque d'orientation, elle fait de son mieux pour ne pas se retrouver dans les endroits où elle sera le moins accepté. Après tout la plupart des gens sont au courant qu'une famille indienne a été ramenée "pour voir".

A part cela, elle n'a pas un très grand sens de l'humour, surtout qu'elle ne comprend pas la moitié de ce que les gens lui racontent en bon anglais. Son maître a parfois du mal avec d'ailleurs, mais il s'adapte car elle fait du bon travail. Si vous lui racontez une blague, elle restera sûrement perplexe, s'affolera même, se demandant si ce que vous venez de dire est vraiment important et par conséquent qu'il aurait fallu qu'elle comprenne. Elle se retrouvera donc à balbutier comme une andouille, rougir comme une andouillette et s'affoler comme une affolée.

C'est à peu prêt tout ce que l'on peut dire sur elle, je pense.

─ Famille :

Attention, c'est compliqué, mais nécessaire pour comprendre le personnage. Alors au lieu de l'insérer par morceau dans l'histoire et que cela risque de faire "hors-sujet", je préfère rajouter une partie à la fiche pour lui dédier une place spéciale. C'est parti pour la famille Argal :

Anissa est mariée et est mère de deux filles. Un troisième grandit actuellement dans son ventre et l'on espère qu'il sera un garçon. Son mari avait d'abord été mariée à la grande sœur de Anissa maintenant décédée dont il avait eu une fille.

Anissa possède deux grands et un petit frère, tous trois mariés. Le plus grand a deux garçons, le second un garçon, la femme du plus jeune est actuellement enceinte.

Les grands-pères, grand-mères, père et mère d'Anissa sont encore en vie. Les parents et grands-parents de son époux également.

Elle possède diverses oncles et tantes, mais nous n'allons pas en parler pour simplifier notre histoire. Des âges ont été définis pour chacun des membres de la famille, mais nous allons passer outre pour ne pas compliquer les choses.

Ont été emmenés à Londres : Anissa, son époux, leurs trois enfants, son plus jeune frère et sa femme, les parents et grands-parents. On projette de ramener le reste de la famille également dans un futur plus ou moins proche.

─ Histoire :

Dehors, le bruit de la foule se fait de plus en plus puissant. De nouveaux membres de la famille éloignée et des clans amis sont arrivés. On ajoute quelques perles au collier, la voilà parfaite. Prête pour se marier. Elle fait quelques pas devant sa mère, révise une dernière fois les déplacements et le salut. Oui, elle est parfaite.

- Très bien ma fille. Il est temps d'y aller maintenant.
- Oui père. Ma sœur sera fière.

Elle sort de la salle en compagnie de ses parents et ses frères. Le premier enfant de son futur, sa nièce, la salue. Encore toute petite, elle aimerait se trouver une nouvelle maman, ce qui est normal. Alors Anissa lui promet de faire de son mieux pour s'en occuper comme sa sœur l'aurait fait avant elle. Arrivée devant son promis, elle s'incline, constate qu'elle est vraiment grande car elle n'a pas besoin de se mettre sur la pointe des pieds pour le regarder dans les yeux.

- Anissa, tu fais très grande habillée ainsi.
- Merci.

Il regarde autour de lui, prévient les invités que la cérémonie aura un peu de retard, prend sa future à part dans une salle de leur futur demeure conjugale. Il veut lui parler de quelque chose d'important avant de la prendre pour nouvelle épouse.

- Tu sais, ne te force pas. Je sais que c'est la coutume d'épouser la sœur de notre épouse si elle décède, mais tu pourrais-
- Tu ne veux pas de moi ?
- Ne te méprends pas. J'aimais beaucoup ta soeur, je t'aimerais tout autant. Tu es belle.
- Alors je serais ta femme. Parce que je le veux.

Aujourd'hui, Anissa a quatorze ans, elle épouse l'ex-mari de sa défunte sœur, sera la mère de ses futurs enfants, sera heureuse de cette situation. La voilà devenue Argal.

________________________________

La naissance d'un enfant une dizaine de mois après le mariage met toute la famille en joie. Qu'elle l'ait si tôt est bon signe, ainsi elle en aura assez pour qu'il y ait au moins un héritier au nom. Car la famille Argal possède une grande fortune bien qu'ils soient nomades. L'alliance avec la famille de Anissa n'a fait qu'agrandir leurs possessions et ainsi leur donner un poids plus important au sein du territoire. Ils ont avec eux plusieurs troupeaux, des richesses qu'ils transportent avec eux, multitude d'étoffes décorées qu'ils peuvent vendre, quelques commerces importants fixés dans des villes. Leur influence est telle qu'ils sont régulièrement appelés pour les décisions importantes auprès des britanniques en Inde.

C'est une petite fille qui ressemble à sa maman comme la première pouvait ressembler à sa mère à elle. Le père aurait préféré un garçon héritier, mais il reste heureux. Sa femme a bien encore le temps de lui donner un fils.

- Se sera une belle enfant.
- Puis une belle femme.

Son mari l'embrasse.

________________________________

Le soleil se lève, elle fait de même. Après avoir allaité son enfant et pris soin d'enrouler son ventre redevenu gros dans un foulard pour la soutenir sans que son dos ne lui fasse mal, elle s'en va au travail. Il faut d'abord emmener les brebis se nourrir, attendre la venue d'un autre berger pour retourner au campement et préparer le repas. Après avoir déjeuner en famille, il est l'heure d'aller préparer le pain pour le soir.

C'est là qu'il y a un problème. Car si elle sait parfaitement coudre, cuisiner, confectionner des vêtements, s'occuper du bétail, effectuer des travaux de force, danser, jouer de plusieurs instruments... Elle a toujours échoué dans l'art du pain. La pâte ne lève jamais, les motifs sont lamentables, le goût est tout simplement abominable. Elle a beau s'entraîner dur toutes les semaines, c'est quelque chose qu'elle ne parvient pas à faire et elle en a honte. Car le pain reste la base de l'alimentation. Si au moins il était comestible... Bien sûr son mari est au courant, il ne lui en veut pas, mais comme lui la satisfait en tout point, elle s'en veut de ne pas pouvoir lui rendre la pareil. Aussi, sa mère a d'autres choses à faire que de préparer du pain pour elle-même et sa fille également.

Après cette rude épreuve il faut retourner s'occuper des enfants, ensuite ramener les bêtes, chasser un peu si on a le temps pour préparer quelque chose de fantaisiste au diner. Ensuite c'est l'heure de détente. Tout le monde danse autour du feu pour évacuer le stress accumulé dans la journée. Chaque repas du soir est une grande fête. Finalement on va se coucher et demain la journée recommence. Parfois il faut déplacer le campement et la fête du soir est d'autant plus importante.

____________________________________

Naissance du prochain enfant, encore une petite fille. Elle est adorable, ressemble cette fois à son papa. Le couple est heureux. D'abord d'avoir des enfants en bonne santé, ensuite que la femme soit encore vivante, finalement d'être une famille tout simplement.

- Se serait bien que l'on puisse avoir un garçon.
- Nous avons le temps, nous sommes encore jeunes.
- Le prochain... Le prochain !

L'aînée, celle qui n'est pas sortie du ventre d'Anissa, regarde ses petites sœurs avec beaucoup de tendresse. La mère caresse les cheveux de cette grande petite demoiselle, lui annonce qu'il va falloir commencer à lui apprendre à coudre.

_______________________________________

Le dernier paquet est emballé. Anissa se relève, essuie son front suant après les effort du travail. Elle étire son dos en arrière, caresse son ventre de nouveau un peu rond. Celui-ci est tout récent. Le mari souhaite que cela soit enfin un garçon, elle aussi. Maintenant il va falloir s'en aller. S'en aller pour Londres.

Il y quelques semaines, des anglais sont venus les voir et, dans un programme "d'échange culturel" et d'autres termes compliqués dont l'éducation de Anissa ne lui permet pas l'accès. Toujours est-il que l'aisance financière de la famille de son mari leur a permit d'obtenir l'invitation de partir s'installer à Londres, la capitale des colonisateurs. Elle n'y a pas vu d'objection du moment qu'elle peut rester avec sa famille. Pour tout dire, elle est curieuse de savoir comment vivent les gens là-bas. Elle est consciente qu'elle ne sera pas acceptée tout de suite, peut-être même jamais, mais son mari, ses enfants, ses parents seront avec elle alors elle s'en sortira. Ils seront comme elle.

Départ en bateau, elle découvre qu'elle a le mal de mer. C'est assez problématique, mais bizarrement cela fait rire son époux, heureux de voir enfin chez elle d'autres faiblesses que son incapacité à faire du pain. Elle ne comprend pas.

- Mais pourquoi ris-tu ?
- Parce que tu me fais rire, tout simplement.

Elle fait la moue.

- Ne te vexe pas, c'est une bonne chose. Tiens ! Ils m'ont dit que là-bas tu pourrais avoir du temps pour toi. On pourra partir en exploration tous les deux.

Il pose sa main sur son épaule et la serre contre lui, l'enlace tendrement. Elle blotti sa tête dans son cou. C'est cela, en réalité, elle est morte de trouille.

- Ça va aller.
- ... Je sais.

_________________________________________

A la descente du bateau, de nombreuses personne sont venues les accueillir. Déjà ils les dévisagent, elle se sent mal à l'aise, mais est rassurée par la main de son époux dans la sienne. Ses enfants de blottissent derrière ses drapés, manquent de dévoiler ses chevilles. Elle fait quelques pas vers l'avant, en direction de l'anglais qu'elle a déjà rencontré qui l'appelle. Le sol est fait de graviers, elle n'a pas l'habitude, glisse, déchire son vêtement dans le dos, ressent une légère douleur, comme une piqure. Sa famille l'aide à se relever, sa mère lui donne un châle pour qu'elle se couvre le dos. Elle ne sait pas qu'une pierre minuscule vient de s'incruster dans son dos.

________________________________________

C'est bon, ils sont installés. La famille de son mari est occupé à parlementer avec les anglais. Les enfants ont été emmenés pour rencontrer leurs futurs professeurs qui leurs apprendront comment se comporter à Londres. Elle aussi va prendre des cours, apparemment, mais elle ne rencontrera ses instituteurs que dans un moment.

Voilà, c'est fait. L'Inde est loin, elle ne la reverra peut-être jamais. Maintenant elle est à Londres, capitale de l'Angleterre, en Europe. C'est comme l'autre bout de la Terre. Que va-t-elle faire ? Que sera l'avenir ?

Elle caresse tendrement on ventre, s'adresse à son futur enfant avec la voix d'une mère déjà aimante plus que de raison :

- Ça va aller.

─ Orientation Sexuel :
"Quelle est cette question ? J'aime mon mari, mon époux, car je dois l'aimer. Je l'aime comme pouvais l'aimer ma soeur et comme le veut mon père. Je n'aime que mon époux."
[hétéro]

─ Porteur de pierre ? : Oui

Couleur de la pierre : noire
Taille de la pierre : seulement quelques millimètres
Se trouve sur : dans son dos, sur l'omoplate gauche
Nom du pouvoir : "Qui sauve une Vie sauve l'Humanité"
Description du pouvoir :

C'est très simple, on a sûrement jamais vu de pouvoir aussi simple, bon, juste, anodin, mais tellement important. La pierre d'Anissa lui sert tout simplement à savoir faire le pain, discipline dans laquelle elle avait toujours échoué. Le pain est un aliment de base, fait avec du blé qui est une agriculture de base. Que donne-t-on, dans l'imaginaire collectif, au prisonniers dans leurs cellules ? De l'eau et du pain. Certes il ne sera pas aussi sophistiqué que celui que peut produire l'indienne, mais il reste du pain. De qui sauver une vie, la nourriture de l'humanité, l'aliment souvent repris. La simplicité, la modestie, la sincérité, le don, la vie.

Inconvénients :

Elle ne peut évidemment pas cuire des tonnes et des tonnes de pain, il ne faut pas exagérer. Si elle y met tout son talent, pour produire un beau pain doré, décoré, agréable à l'oeil, elle ne pourra en faire qu'un dans la journée et aura de multiples courbatures dans les articulations. Plus elle fait de petits pains, plus elle s'épuise.

Catégorie du pouvoir : création

─ Groupe : Domestique, of course ! D'où une immigrée de la "race inférieure" pourrait être autre chose ? C'est déjà beau qu'elle ne soit pas complètement bête de foire.

Vous.

─ Fréquence de venue sur le forum ? : Le week-end et pendant les vacances principalement.

─ Où avez vous connu ce forum ? : Je suis la cause de Bobby Watson, c'est moi la coupable, enfermez-moi, je ne protesterais pas ! (Mais vous devrez subir mes blablatages sur tout et n'importe quoi. J'espère que vous n'avez pas de personnage idolâtré ou adoré, parce qu'il sera démystifié en deux minutes. xD). Bref, j'étais Alessandro Gabrielli sur la version 1 (choc des cultures u_u"), mais j'ai décidé de ne pas le refaire lui ici, se serait plus pareil et toussa toussa, donc je préfère faire une immigrée ! *PAN*

─ Votre Niveau de RP : Bon je pense, enfin ça dépend aussi de l'inspi, mais je fais aisément vingt lignes. On va dire que c'est à peu prêt mon minimum.

─ Votre surnom : "Pourquoi je t'écoutes ?" "J'ai rien entendu" "Bon, j'arrête de t'écouter" "arrête de massacrer mes personnages" "laisse-moi bosser" "pffff" "tu me tue"... Généralement. xD

─ Autre chose à dire ? : Aaaaah ! Sakura elle a des globes oculaires tellement gros... Imaginez avec moi la taille du cerveau mes amis ! *PAN* Plus sérieusement, quand j'emploie le terme "race inférieure" dans ma description, il faut bien penser que j'emploie les termes et les pensées que pouvaient avoir les gens de l'époque face à un personnage à peau bronzée. Il n'y a la aucun propos raciste de ma part, évidemment. (Je sais, ça peut paraître évident, mais on ne sait jamais, il y a des fous furieux qui traînent partout u_u")

─ Code ? : Code validé {Sasha}